LES DAFT PUNK PARLENT...
 


Cet avant-propos est apparu au dos d'un poster promotionnel.

"C'est pendant les premières séances d'enregistrement de notre second album "Discovery" que nous envisageons l'idée d'un dessin animé musical, où se mêleraient science-fiction et show-business décadent, limousines et vaisseaux spatiaux. Nous commençons alors, parallèlement à la musique, l'écriture de l'histoire avec notre ami et collaborateur Cédric Hervet.

Tous trois bercés, enfants, par "Albator" et son univers poétique et énigmatique, nous rêvons d'une collaboration incertaine avec Leiji Matsumoto, et nous envolons à sa rencontre été 2000 avec notre album et le synopsis terminé sous le bras. Arrivés à Tokyo, Leiji nous reçoit chez lui chaleureusement. Enthousiaste à l'écoute de la musique, il rejoint notre équipage aussitôt.

Nous sommes enfin prêts à décoller dans son univers intergalactique baroque. Très vite, dès ses premières esquisses, la confrontation de nos mondes respectifs semble fonctionner. Après une rencontre avec son collaborateur Shinji Shimizu, déjà producteur de la série Albator chez Toei Animation (société de production mythique : "Candy" ;"Goldorak"), ce dernier constitue l'équipe qui sera dirigée
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par le réalisateur Kazuhisa Takenouchi.

 

   


 
ARCADIA 2000 © BIS Productions 2003

Mais en privé, les musiciens sont traités en esclaves et frappés lorsqu'ils tentent de se reposer des longues journées sans trêves auxquelles ils sont soumis...

Le Digital Lover parcourt la ville et retrouve la trace de ses idoles grâce à une affiche. Lors d'un concert en plein air, il se propulse jusqu'à la scène où il brise d'un coup de rayon les lunettes et le contrôle qu'elles exerçaient sur les musiciens. Seule Stella reste la prisonnière du maléfique producteur...