LES DAFT PUNK PARLENT...
(suite)
 


Nous sommes en octobre 2000, et la production de l'animation peut enfin commencer. Elle s'achèvera après 28 mois de travail, de nombreux allers-retours Paris-Tokyo et d'innombrabres e-mails échangés avec notre ami Spike Sugiyama, la seule personne de l'équipe parlant l'anglais et le japonais, assurant la communication et toutes les traductions nécessaires à une telle collaboration artistique entre nos deux cultures très différentes.

Nous sommes heureux de vous faire partager un de nos rêves d'enfance devenu aujourd'hui réalité."

Thomas Bangalter et Guy-Manuel de Homem-Cristo (Daft Punk)



"Plus que la critique de l’industrie discographique, c’est l’aventure interstellaire qui séduit dans Interstella 5555. Un voyage au pays des stars auquel les dessins de Leiji Matsumoto, le créateur d’Albator, donnent une naïveté au charme puissant. On dépasse là tout ce que cette entreprise peut avoir de branché et de conceptuel, pour retomber en enfance, tout simplement (...) Avec ce film, les Daft Punk se sont offert leur rêve d’enfant. Et comme Leiji Matsumoto est aujourd’hui un cartoonist culte et très coté, ils se sont du même coup payé une œuvre d’art. Tout est bien qui se finit bien, comme dans les contes." — Frédéric Strauss (Télérama)


© 2003 Daft Punk

 

 

   


 
ARCADIA 2000 © BIS Productions 2003

Mais en privé, les musiciens sont traités en esclaves et frappés lorsqu'ils tentent de se reposer des longues journées sans trêves auxquelles ils sont soumis...

Le Digital Lover parcourt la ville et retrouve la trace de ses idoles grâce à une affiche. Lors d'un concert en plein air, il se propulse jusqu'à la scène où il brise d'un coup de rayon les lunettes et le contrôle qu'elles exerçaient sur les musiciens. Seule Stella reste la prisonnière du maléfique producteur...