L'Atlantis de ma jeunesse

Après quatre excellents volumes du manga et une première série télévisée qui en était directement tirée, Leiji Matsumoto se remit au travail sur une autre oeuvre, dont l'originalité serait d'être, non pas une suite, mais un épisode antérieur à ces oeuvres.
Il s'agissait d'un film long-métrage de deux heures environ, qui sortit sur les écrans au Japon et obtint un franc succès, suffisamment pour qu'une série télévisée en découle (voir Endless Orbit SSX, alias Albator 84).

Le succès du film est devenu international, puisque la vidéo existe en langues anglaise (AnimEigo) et française (AK Vidéo), ce qui en fait l'oeuvre de Leiji Matsumoto la plus répandue dans le commerce à l'échelon international.